
SUGAR'N'STRINGS
WONDERFUL WORLD
« C’est un album de chansons… sans chanteur! » C’est ainsi que le duo Sugar’n’Strings composé de Yann Viet et Olivier Soubeyran décrivent en quelques mots leur album Wonderful World.
Le premier est à la guitare, instrument qu’il enseigne depuis une trentaine d’années à l’espace Gérard-Philipe. Le deuxième assure les parties de basse et de violoncelle. « Nous nous sommes rencontrés, il y a très longtemps chez un copain guitariste, autour d’une soirée crêpes », reviennent-ils. Et, de la crêpe à la galette, il n’y a qu’un pas.
« Nous avons commencé à travailler sur cet album, il y a sept ans. Tous les ans, nous nous retrouvons dans un studio en Normandie et nous y enregistrons quatre ou cinq titres. » Le résultat de cette maturation ? Un disque composé de 15 titres, alternant les reprises retravaillées (What a wonderful world, qui donne son titre à l’opus ou, encore, The Water is Wide, un air traditionnel irlandais) et compositions personnelles.
« On pourrait dire qu’il a une structure jazz, dans le sens où nous travaillons l’improvisation autour de mélodies. Nous accordons une grande importance à l’harmonie. » Et, pour les accompagner sur certains titres, le duo a fait appel à des potes. Ou à des potes de potes. Citons, par exemple, William Lecomte à l’orgue, Jean-Bernard Mondoloni au bodhrán ou, encore, Marc Éliard, bassiste du groupe Indochine et qui, cette fois, s’arme de son accordéon.
Cependant, c’est en duo que le groupe part sur les routes pour faire découvrir Wonderful World. « Cette forme nous permet une grande autonomie. Nous pouvons notamment assurer des soirées privées, si les gens veulent s’offrir un concert en appart’, ils peuvent nous appeler! »
D’INFOS : pour commander l’album ou réserver un concert : yannvietjazzandcrunchguitar.fr